26 Février 2001
Quand je serai mort, vouez ma tombe à l'oublie,
Que le récit de ma vie serve de leçon à tous!
Mélangez la poussière de mon corps avec du vin,
Faites de mon argile des bouchons pour en sceller les fûts.
Omar Khayyam, dans Le Vin de Nishapour de Shahrokh Golestan, traduction de Fuad Rouhani, ed. Souffles, Paris 1988.
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