Question test pour un caviste
Vous vous rappelez de mon passage chez les « Caves du Panthéon », rue Saint Jacques avant la dégustation du soir.
Comme l’accueil avait été sympathique, je m’étais promis d’y retourner sur mon chemin vers la gare et de poser la question « test », que je dois souvent poser lors de mes voyages : « Je ne peux emporter qu’une seule bouteille (si je n’ai pas déjà 5 kg de livres en trop, c’est parfois 3 bouteilles) – quelle vin est-ce que vous me conseillez ? »
En bon professionnel, le caviste cherche à sonder un peu mes goûts. Sur la question : dans quel ordre de prix, je ne peu que rétorquer : pas d’importance – pour une seule bouteille, je ne vais pas me formaliser (bon, j’admets, qu’au-delà de 100 €, j’aurais tiré le frein – mais une bonne bouteille vaut bien le prix d’une chambre d’hôtel à mon avis).
Donc interrogée, j’essaye de définir mes attentes – c’est toujours plus facile par le négatif :
Pas forcement un vin trop facile à boire, pas un vin simplement sur les arômes primaires de fruit, pas à boisé dominant non plus, pas technologique, pas gouleyant, pas des vins soit disant « féminins ».
J’aime les vins, qui ont de la texture en bouche, des vins tactiles, des saveurs un brin sauvages, s’il y a des tannins, qui accrochent encore un peu (vu que je les bois toujours trop jeunes), cela ne me dérange pas. Avec tout cela, pas de préférence pour des cépages ou des régions. Ah oui, j’avais dit, que je voulais un vin rouge.
Le caviste m’a écouté attentivement – et m’a sorti une bouteille de Faugère, Domaine Barral.
Vous vous imaginez, que je suis sortie avec autre chose – je n’allais pas rapporter du charbon à Newcastle ou des hiboux à Athènes (comment est-ce qu’on dit cela en Français ?) – mais j’ai bien aimé l’expérience – et j’étais prête à lui faire aveuglement confiance pour la bouteille, qu’il m’avait choisi ensuite.
Dernière anecdote de mon passage à Paris – et après, je le promets, je reste dans le Sud et si le timide soleil, qui a pointé après une semaine de grisaille froid humide, se confirme pour demain, je commence la taille de la vigne !
Comme l’accueil avait été sympathique, je m’étais promis d’y retourner sur mon chemin vers la gare et de poser la question « test », que je dois souvent poser lors de mes voyages : « Je ne peux emporter qu’une seule bouteille (si je n’ai pas déjà 5 kg de livres en trop, c’est parfois 3 bouteilles) – quelle vin est-ce que vous me conseillez ? »
En bon professionnel, le caviste cherche à sonder un peu mes goûts. Sur la question : dans quel ordre de prix, je ne peu que rétorquer : pas d’importance – pour une seule bouteille, je ne vais pas me formaliser (bon, j’admets, qu’au-delà de 100 €, j’aurais tiré le frein – mais une bonne bouteille vaut bien le prix d’une chambre d’hôtel à mon avis).
Donc interrogée, j’essaye de définir mes attentes – c’est toujours plus facile par le négatif :
Pas forcement un vin trop facile à boire, pas un vin simplement sur les arômes primaires de fruit, pas à boisé dominant non plus, pas technologique, pas gouleyant, pas des vins soit disant « féminins ».
J’aime les vins, qui ont de la texture en bouche, des vins tactiles, des saveurs un brin sauvages, s’il y a des tannins, qui accrochent encore un peu (vu que je les bois toujours trop jeunes), cela ne me dérange pas. Avec tout cela, pas de préférence pour des cépages ou des régions. Ah oui, j’avais dit, que je voulais un vin rouge.
Le caviste m’a écouté attentivement – et m’a sorti une bouteille de Faugère, Domaine Barral.
Vous vous imaginez, que je suis sortie avec autre chose – je n’allais pas rapporter du charbon à Newcastle ou des hiboux à Athènes (comment est-ce qu’on dit cela en Français ?) – mais j’ai bien aimé l’expérience – et j’étais prête à lui faire aveuglement confiance pour la bouteille, qu’il m’avait choisi ensuite.
Dernière anecdote de mon passage à Paris – et après, je le promets, je reste dans le Sud et si le timide soleil, qui a pointé après une semaine de grisaille froid humide, se confirme pour demain, je commence la taille de la vigne !
Commenter cet article
G
I
F
I