Images d'automne
Quelques images de l’automne, qui nous a tant gâté cette année avec des journées splendides, plein de soleil et de belles couleurs. Des impressions de la fête des marrons et du vin nouveau à Olargues et des vues sur la montagne en face de Lisson, la « femme couchée » et le Caroux, « montagne de la lumière », qui nous guide au retour de chaque visite à Béziers tout le longue de la route, qui remonte la vallée de l’Orb. La première salamandre de l’année – moins photogénique que sa congénère chez le collègue de Champagne, plus sauvage, comme il se doit à Lisson….
Et les fleurs de l’arbousier, qui cohabitent à cette époque avec les fruits écarlates – plus beau à voir qu’à manger. J’ai trouvé aussi quelques sorbes cette année, petits fruits en forme de poire, indigestes tant qu’ils ne sont pas « blets », mais un régal une fois arrivé à ce stade. Et comme pour tous les cadeaux de la nature de ce genre, il faut être plus vite que les animaux, qui aiment aussi s’en empiffrer avant que l’hiver leur rend la vie plus difficile. Je pense, pour les sorbes, ce sont les blaireaux, qui sont ma plus lourde concurrence, pour les noisettes, je perds toujours contre les écureuils, les châtaignes sont assez généreuses, pour nourrir tout le monde tout en me laissant un panier – les champignons trouvent tellement d’amateurs à deux pâtes, que je ne me lance pas dans la course – les derniers raisins et figues ont nourris les oiseaux (je ne parlerais pas des sangliers dans ce contexte, évitant les sujets qui fâchent).
Pour nous, ils restent les olives à ramasser pour la petite provision d’huile d’olive avant que le gèle ne fasse tout tomber.
Et les fleurs de l’arbousier, qui cohabitent à cette époque avec les fruits écarlates – plus beau à voir qu’à manger. J’ai trouvé aussi quelques sorbes cette année, petits fruits en forme de poire, indigestes tant qu’ils ne sont pas « blets », mais un régal une fois arrivé à ce stade. Et comme pour tous les cadeaux de la nature de ce genre, il faut être plus vite que les animaux, qui aiment aussi s’en empiffrer avant que l’hiver leur rend la vie plus difficile. Je pense, pour les sorbes, ce sont les blaireaux, qui sont ma plus lourde concurrence, pour les noisettes, je perds toujours contre les écureuils, les châtaignes sont assez généreuses, pour nourrir tout le monde tout en me laissant un panier – les champignons trouvent tellement d’amateurs à deux pâtes, que je ne me lance pas dans la course – les derniers raisins et figues ont nourris les oiseaux (je ne parlerais pas des sangliers dans ce contexte, évitant les sujets qui fâchent).
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Pour nous, ils restent les olives à ramasser pour la petite provision d’huile d’olive avant que le gèle ne fasse tout tomber.
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