Passez une heure à l'écoute du terroir
Je vous en avais déjà parlé dans un article sur notre Clos des Cèdres de l’année dernière : de Claude Bourguignon du LAMS (Laboratoire d'Analyse
Microbiologique des Sols), qui était venu nous faire des analyses de terre des parcelles du Clos des Cèdres et du Clos du Curé en 1992, quand nous étions tout au début de notre
création de vignoble sur la colline de Lisson.
Il m’avait presque fait rougir, quand il s’exclamait devant la diversité de la petite faune dans nos terres et la richesse de la vie microbienne, mais surtout quand il comparaît notre site avec ses souvenirs de la Coulée de Serrant – déjà à l’époque pour nous synonyme d’une approche naturel de la vigne et du grand vin. Philippe Rapiteau, dans son blog de la Pipette, qui m’avait accompagné avec sa femme dans le grand tour des vignes, en parle aussi dans sa „carte postale authentique de Lisson“ de cet été.
Comme les quelques restes de la neige de l’autre jour et l’air frais dans la vallée m’empêchaient aujourd’hui encore de monter dans les terrasses, j’ai pu prendre le temps de pousser un peu plus loin mes recherches sur un article sur nos terroirs, que je prépare depuis quelque temps.
Et là, je suis tombée sur son post sur l’émission Terre à Terre de Ruth Stégassy sur France Culture du 8 décembre 2007. Et j’ai passée une heure d’écoute passionnante, les écouteurs dans les oreilles!
Prenez vous le temps, préparez un verre de très bon vin (ou deux, sans modération...) et allez suivre cette
émission, vous pouvez l'écouter ou télécharger la transcription de l'interview en pdf:
„Une heure de réflexion sur les problèmes d'environnement, sans jamais tomber dans la polémique ! Ce magazine s'efforce de faire le lien entre les diverses informations provenant de toute part, de tisser un réseau de chercheurs actif, et de faire le point sur l'évolution au fil des ans de chaque question abordée.“
Après un début à la voix un peu tremblante de Lydia Gabucci-Bourguignon, qui me la rende encore plus sympathique, tellement je connais ce problème de souffle, quand on passe sur les ondes, la passion et la compétence des chercheurs prennent le dessus et nous entrainent dans le milieu du sujet – parfois judicieusement freiné par la journaliste, pour reprendre plus calmement et dans l’ordre les détails scientifiques, qui forment un tout sur ce produit spirituel et culturel, qu’est le bon vin, qui a une identité, qui „nous amène en voyage“, si nous voulons bien l’accompagner et le "tâter". Qui nous redonne le gout de son terroir, si nous avons su d’abord le choisir et ensuite le garder vivant.
De mon côté: rien à ajouter: Vive les bio-cons du respect de la terre et du vin!
Il m’avait presque fait rougir, quand il s’exclamait devant la diversité de la petite faune dans nos terres et la richesse de la vie microbienne, mais surtout quand il comparaît notre site avec ses souvenirs de la Coulée de Serrant – déjà à l’époque pour nous synonyme d’une approche naturel de la vigne et du grand vin. Philippe Rapiteau, dans son blog de la Pipette, qui m’avait accompagné avec sa femme dans le grand tour des vignes, en parle aussi dans sa „carte postale authentique de Lisson“ de cet été.
Comme les quelques restes de la neige de l’autre jour et l’air frais dans la vallée m’empêchaient aujourd’hui encore de monter dans les terrasses, j’ai pu prendre le temps de pousser un peu plus loin mes recherches sur un article sur nos terroirs, que je prépare depuis quelque temps.
Et là, je suis tombée sur son post sur l’émission Terre à Terre de Ruth Stégassy sur France Culture du 8 décembre 2007. Et j’ai passée une heure d’écoute passionnante, les écouteurs dans les oreilles!
Prenez vous le temps, préparez un verre de très bon vin (ou deux, sans modération...) et allez suivre cette
émission, vous pouvez l'écouter ou télécharger la transcription de l'interview en pdf:
„Une heure de réflexion sur les problèmes d'environnement, sans jamais tomber dans la polémique ! Ce magazine s'efforce de faire le lien entre les diverses informations provenant de toute part, de tisser un réseau de chercheurs actif, et de faire le point sur l'évolution au fil des ans de chaque question abordée.“
Après un début à la voix un peu tremblante de Lydia Gabucci-Bourguignon, qui me la rende encore plus sympathique, tellement je connais ce problème de souffle, quand on passe sur les ondes, la passion et la compétence des chercheurs prennent le dessus et nous entrainent dans le milieu du sujet – parfois judicieusement freiné par la journaliste, pour reprendre plus calmement et dans l’ordre les détails scientifiques, qui forment un tout sur ce produit spirituel et culturel, qu’est le bon vin, qui a une identité, qui „nous amène en voyage“, si nous voulons bien l’accompagner et le "tâter". Qui nous redonne le gout de son terroir, si nous avons su d’abord le choisir et ensuite le garder vivant.
De mon côté: rien à ajouter: Vive les bio-cons du respect de la terre et du vin!
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