Du "body-building" dans la vigne
L’outil, que Klaus a inventé et soudé lui même pour enfoncer plus facilement les fers à béton, qui servent comme support pour la clôture, rend bien
service. Il montre de nouveau, que tout peut encore servir: le poids est une ancienne roue d’entrainement de notre brouette à chenille – mais le poids d’un haltère pourra aussi faire l’affaire. Le
reste est un tube en fer, bien fermé par un „bouchon“ en fer en haut – et le bélier pour ramer les fers même dans nos terres sèches et dures sans trop peiner est prêt.

Encore avoir assisté à une séance d’enfoncement d’une centaine de fers de plus me laisse dubitative sur le « sans trop peiner ». J’avais moi-même enfoncé une douzaine la veille dans une des rares parties sableuses de la vigne, donc plustôt un jeu. Mais lever au moins 5 à 6 fois l’engin (d’environ 7 kg) sur chaque piquet, fait déjà une somme de 4 tonnes pour 100 piquets – donc Klaus n’avait plus besoin d’une séance en salle de musculation après cela… et en plus il y a encore au moins trois séances du même style, qui l’attendent – ponctués de quelques kilomètres de plus à la d´broussailleuse, pour nettoyer les passages des fils.

Mes taches sont plus adaptées à mes forces limitées : nettoyer au sécateur, attacher les sarments plus haut, trier dans les raisins, distribuer les piquets sans le terrain, faire suivre le café et l’eau, prendre des photos, fixer 3 « queues de cochon » sur chaque piquet et aider à tirer les fils.
Et miracle, hier, Klaus a réussi de me prendre en photo, pendant que je travaillais – chose très rare, vu que normalement, je suis derrière l’objectif… Donc ici le scoop de la vigneronne en train de travailler dans le Clos du Curé:


... et bonnes vacances à tous ceux parmis mes lecteurs, qui sont en congé!

Encore avoir assisté à une séance d’enfoncement d’une centaine de fers de plus me laisse dubitative sur le « sans trop peiner ». J’avais moi-même enfoncé une douzaine la veille dans une des rares parties sableuses de la vigne, donc plustôt un jeu. Mais lever au moins 5 à 6 fois l’engin (d’environ 7 kg) sur chaque piquet, fait déjà une somme de 4 tonnes pour 100 piquets – donc Klaus n’avait plus besoin d’une séance en salle de musculation après cela… et en plus il y a encore au moins trois séances du même style, qui l’attendent – ponctués de quelques kilomètres de plus à la d´broussailleuse, pour nettoyer les passages des fils.

Mes taches sont plus adaptées à mes forces limitées : nettoyer au sécateur, attacher les sarments plus haut, trier dans les raisins, distribuer les piquets sans le terrain, faire suivre le café et l’eau, prendre des photos, fixer 3 « queues de cochon » sur chaque piquet et aider à tirer les fils.
Et miracle, hier, Klaus a réussi de me prendre en photo, pendant que je travaillais – chose très rare, vu que normalement, je suis derrière l’objectif… Donc ici le scoop de la vigneronne en train de travailler dans le Clos du Curé:


... et bonnes vacances à tous ceux parmis mes lecteurs, qui sont en congé!
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